Lieu : AMPUS
Date : 20/05/2016
Difficulté :
- P2
- T/T1
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Pour plus de détail sur cette cotation aller à (Fédération Française de Randonnée) :
http://www.ffrandonnee.fr/_241/cotation-de-randonnees-pedestres.aspx
ou télécharger le guide
https://www.ffrandonnee.fr/data/CMS/files/cotation/FFRANDO-Guide-cotation.pdf
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Type : Boucles
Style : Organisée par un club
Distance : 13,947 km
Altitude maximum : 670 m
Altitude minimum : 618 m
Durée :
Déplacement : 3 h 54
Avec Pauses : 6 h 12
Carte IGN : TOP 25 N° 3443 OT année 1996
Position par rapport à Toulon
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Parking : AMPUS (sous le village)
Point GPS : N 43° 36’ 21,5" E 006° 22’ 57,8"
Itinéraire :
Du parking monter dans le village vers l’église pour le visiter et suivre le chemin de croix en faïence pour atteindre le sommet de la colline qui le domine. Sortir du village par la D51 en direction du nord passer sur le pont de la Narturby puis au point GPS : N 43° 36’ 42,9" E 006° 23’ 06,7" prendre la route vers « Les Calades » jusqu’ au point GPS : N 43° 37’ 00,7" E 006°23’ 11,4 Là prendre la piste en terre qui mène au Dolmen au point GPS : N 43° 36’ 50,4" E 006° 22’ 59,5" faire l’aller-retour jusqu’ au point GPS : N 43° 36’ 58,8" E 006° 23’ 03,8". Suivre la piste vers le nord jusqu’ au point GPS : N 43° 37’ 04,7" E 006° 23’ 05,5". Prendre la piste en direction du Nord-Ouest pour rejoindre la route au point GPS : N 43° 37’ 27,8" E 006° 23’ 03,9" L’emprunter vers l’ouest jusqu’au carrefour -point GPS : N 43° 37’ 45,4" E 006° 21’ 40,0" Au vieux Moulin (au point GPS : N 43° 37’ 24,4" E 006° 21’ 18,0") prendre la piste en direction de la Chapelle située au point GPS : N 43° 37’ 25,9" E 006° 21’ 54,0".
Pour le retour sur Ampus prendre la piste en direction du SUD-EST passant par le point GPS : N 43° 37’ 19,2" E 006° 21’ 53,7". Jusqu’à l’entrée Nord d’Ampus au point GPS : N 43° 36’ 25,0" E 006° 22’ 30,1" suivre après la route en direction de l’EST au milieu d’un lotissement jusqu’ au point GPS : N 43° 36’ 27,7" E 006° 22’ 50,8" . Enfin suivre le chemin de l’eau et regagner les véhicules par le chemin que l’on veut
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Lien avec un fichier comprenant le tracé GPS sous forme "gpx" ou "trk" :
http:///www.openrunner.com/?id=6122645
La randonnée en photos
Avant de prendre notre chemin de randonnée, nous avons effectué une visite du village et monté sur la colline au-dessus de l'église voici quelques photos notamment une veille sulfateuse, des mosaïques incrustées dans la roche représentant un chemin de croix et un autel
Nous avons pris la route vers le Dolmen. A la sortie du village, un magnifique plan d’artichaut, la Nartuby d'Ampus à sec,les ruines d'un vieux pont, le village vue de loin
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Le Dolmen et la chemin
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C'est le printemps, de nombreuses plantes sont en fleurs , de grands champs avec des hautes herbes, des coquelicots, des genets, du blé sauvage, et de la luzerne en fleurs
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Nous nous approchons de notre étape de midi La chapelle Notre Dame de Spéluque
Selon Wikipédia |
La chapelle Notre-Dame de Spéluque, située dans la commune d’Ampus dans le Var (France), remonte au Xe siècle. L'ensemble fut un prieuré de l'abbaye de Lérins jusqu'à la révolution. Selon l'historien local Marcel Faure, la basilique fut consacrée le 10 janvier 1090 par Bérenger III, évêque de Fréjus. Speluca nom donné à Saint Victor par Bertran de Saint-Martin évêque de Fréjus uni à la collégiale de Pignans puis cédé aux Oratoriens de Cotignac A la Révolution cette chapelle, Beate Marie de Speluca comme on la désignait dans les anciens textes appelée également aujourd'hui Chapelle Notre Dame du Plan a été vendue comme "bien national" et acquise par Madame d'Autran puis rachetée par la famille Jerphanion. Le classement au titre de la loi du 31 décembre 1913 sur les monuments historiques est intervenu par arrêté du 26 juin 1990. L'ermitage accolé au sud, englobant le chevet, construit plus récemment (sans doute fin XVIIIe), n'est pas compris dans la protection L’actuelle sacristie de la chapelle primitive Notre-Dame de Spéluque remonte au Xe siècle et fut, sans doute, érigée à l'emplacement d’un ancien lieu de culte païen. C'est un édifice à nef unique comprenant en plan trois travées terminées par un chœur semi-circulaire voûté en cul-de-four. La nef est elle-même couverte d'une voûte en berceau brisé soutenue par des arcs doubleaux retombant sur des impostes et des piliers rectangulaires. Les murs latéraux sont rythmés par des arcades de décharge. Il est situé en bordure de la Nartuby, au pied du plateau des Rouvières et bordé par le Plan de Canjuers. Le chevet plat est englobé, au nord, dans une sacristie qui occuperait l'emplacement d'une chapelle primitive du Xe siècle. L'édifice possède un remarquable autel pentadote du XIe siècle des plus rare, composé de deux colonnes torsadées, deux colonnes à fûts lisses et une colonne à fût hexagonal. Les colonnes sont surmontées de chapiteaux à feuillage.
La meurtrière absidiale possède un vitrail représentant Notre-Dame, l'oculus éclairant la face ouest a lui aussi conservé son vitrail. Ils datent probablement de la deuxième moitié du XIVe siècle (vers 1868 ?), date à laquelle la chapelle fut réparée, l'ermitage et le clocher construits).
C’est le temps où les Sarrasins, quittant leur repaire de Fraxinet (La Garde-Freinet), firent irruption dans la plaine de Tourtour. Les habitants se réunirent pour résister et jurèrent, s’ils remportaient cette victoire, de construire une chapelle, témoignage de leur reconnaissance à la Vierge.
Ils chassèrent l’envahisseur et construisirent l’édifice. En 990, Almerade évêque de Riez, la dota d’un « autel en Val d’Empure » consacré à la Vierge (cartulaire du monastère de Lérins).
Cette chapelle primitive étant devenue trop petite, on lui en adjoignit une autre qui fut consacrée en 1090 par Raymond Béranger, évêque de Fréjus. À l’époque, un monastère et un village se regroupaient autour de cette église.
Quelques années plus tard, un chevalier félon, nommé Tuan, et des membres de sa famille saccagèrent ce joyau de l’art roman ainsi que le monastère et le petit village. Seule fut réparée la chapelle au milieu de la petite plaine. Elle fut pourvue d’un prieur et desservie par quatre moines.
En 1793, elle fut vendue comme bien national et, après avoir servi pendant une quarantaine d'années d'abri agricole sinon de bergerie, achetée par madame d’Autran, puis par la famille de Jerphanion qui la rendirent au culte. D’importantes réparations sont alors entreprises et le clocher restitué et l’ermitage édifié. La cloche est, elle, datée de 1843.
Enfin, Madame Claire, Alice, Anne-Marie de Jerphanion (†), souhaitant rendre à cette chapelle privée sa destination première, y accueille une moniale de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire) |
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Nous longeons des champs de chênes truffiers, une charbonnière pour faire du charbon de bois, un groupe de chevaux et des fleurs de toutes les couleurs
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Nous approchons de la chapelle, voici quelques photo de la Narturby, de cabanon, de fleurs et d'une borne militaire romaine
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Nous voici à la chapelle
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Au retour vers Ampus, la Narturby, le chemin de l'eau en arrivant à AMPUS
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Nous sommes arrivés et nous regagnons les voitures
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.A bientôt